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INDUSTRIE / MARCHÉ Belgique / Danemark

EXCLUSIF : LevelK s’offre le film belge SpaceBoy

par 

- La société de ventes internationales a acheté les droits pour le monde, à l’exception du Benelux, de ce film d’aventures familial d'Olivier Pairoux inspiré des exploits casse-cou de Joseph Kittinger

EXCLUSIF : LevelK s’offre le film belge SpaceBoy
SpaceBoy d'Olivier Pairoux

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, le nouveau film de la société de production à laquelle on doit Binti [+lire aussi :
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, a été acheté par l’agent de ventes internationales danois LevelK. Le film va suivre un pré-ado nommé Jim qui est passionné de sciences et construit secrètement un ballon à air chaud avec son amie Emma, tout ça pour prouver à son père astrophysicien que malgré la mort tragique de sa mère, tout est toujours possible. Tandis que les deux enfants décident d’imiter le célèbre Projet Excelsior de Joseph Kittinger (qui a sauté de la stratosphère pour tester les parachutes de grande altitude), leur aventure devient très risquée. Le film, qui se passe dans les années 1980, l'année de la tragédie de la navette spatiale Challenger, est décrit comme ayant "un côté Spielbergien".

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“Il est dans la nuit, et la télévision diffuse le clip de "Dayvan Cowboy" de Boards of Canada. Le groupe d’électro a utilisé des images d’archives pour illustrer leur chanson : l'expérience de Joseph Kittinger qui, en 1960, est monté à 31km pour ensuite sauter dans le vide", confient le réalisateur Olivier Pairoux (dont c'est le premier long-métrage, mais qui s'est fait connaître en faisant des clips musicaux et des publicités) et son co-scénariste Eusebio Larrea dans leur note d’intention. "Nous sommes devenus obsédés par ces images poétiques et scientifiques et nous avons développé une passion pour Kittinger et sa performance : le fait de transcender, d'avoir le courage de faire des choses à première vue impossibles. Comme Jim est décidé à imiter Kittinger pour prouver à son père qu'il faut défendre ses rêves, il ferait n’importe quoi : mentir, voler, prendre de risques et même mettre des gens en danger. Il va découvrir que les rêves ne peuvent être exaucés qu'en payant le prix fort".

SpaceBoy, interprété par Basile Grunberger, Yannick Renier, Albane Masson, Bérénice Baoo, Jean-Benoit Ugeux et Peter Van Den Begin, a été produit par Annabella Nezri pour Kwassa Films, la société à laquelle on doit aussi Jumbo [+lire aussi :
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de Zoé Wittock, en coproduction avec Katleen Goossens pour Bulletproof Cupid. Le film a été financé par la Fédération Wallonie-Bruxelles (Fonds Cinéma belge), Europe créative - MEDIA, la Loterie Nationale, Belga Films Fund, VOO-BE TV, RTL Belgique et le VAF (Vlaams Audiovisueel Fonds).

"J’aime la citation de Disney qui dit que 'pour chaque rire, il devrait y avoir une larme'. C’est vraiment avec cet état d’esprit que nous avons travaillé sur l’histoire", a ajouté Pairoux, qui travaille déjà sur son deuxième film, le film noir Vigilante. "Même si le thème principal est le deuil, derrière cet aspect dramatique sombre, SpaceBoy est aussi un mélange de romance et de comédie avec beaucoup d’aventure".

"SpaceBoy aborde des sujets clefs comme l’amitié, le fait d'être parent et l'idée de suivre ses rêves, a dit Tine Klint, la DG de LevelK, à Cineuropa. En plus de bien convenir à notre label familial et d’avoir une belle qualité de production grâce à son équipe très aguerrie, le film se passe dans les années 1980, ce qui en fait aussi un film plaisant à regarder pour les parents".

La sortie du film est prévue pour 2021.

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(Traduit de l'anglais)

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