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PRODUCTION Espagne

Karra Elejalde prie dans Que baje Dios y lo vea

par 

- L’acteur basque, à nouveau nominé aux Goyas pour son rôle dans 100 métros, vient de terminer le tournage de cette comédie, premier long-métrage du réalisateur Curro Velázquez

Karra Elejalde prie dans Que baje Dios y lo vea
Karra Elejalde et Alain Hernández sur le tournage de Que baje Dios y lo vea (© Manuel Trillo)

Le tournage de Que baje Dios y lo vea, une comédie écrite et dirigée par Curro Velázquez s’est tenu à Ciudad Rodrigo, Madrid, Alcalá de Henares, Pastrana, El Escorial, Gózquez, Viso del Marqués et Rome. L’acteur Karra Elejalde interprète le rôle principal dans lequel il rivalise d’ubiquité – à l’instar du tout-puissant – avec Luis Tosar, José Coronado et Antonio de la Torre. Depuis qu’Ocho apellidos vascos [+lire aussi :
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lui a restitué sa place de grand comique qu’il n’aurait jamais dû abandonner, l’acteur basque ne cesse d’être sollicité : il est nominé aux Goyas du Meilleur acteur dans un rôle secondaire pour son travail dans 100 metros [+lire aussi :
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, dans lequel il retrouve Dani Rovira, après la saga des apellidos. Ce dernier présentera la cérémonie de remise des prix de l’Académie des arts et des sciences cinématographiques d’Espagne (lire l’article).

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Dans Que baje Dios y lo vea, Elejalde est accompagné par Alain Hernández (Palmeras en la nieve [+lire aussi :
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), Juan Manuel Montilla “El Langui” (qui a reçu un Goya pour El truco del manco), Macarena García (qui a également reçu un Goya Blancanieves [+lire aussi :
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interview : Pablo Berger
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), Tito Valverde, Joel Bosqued, Paco Rueda, Txema Blasco, Paco Sagarzazu et Joaquín Núñez.

L’intrigue nous emmène dans un monastère en faillite. Pour survivre, les moines n’ont pas d’autres choix que de remporter le ‘’Champion Clerum’’, un tournoi continental de football auquel seuls des religieux participent. Cependant, un léger obstacle se trouve sur leur chemin : dans cette congrégation, personne ne joue au football et l’équipe improvisée aura bien besoin de l’aide divine pour parvenir à maintenir debout leur sainte demeure.

Que baje Dios y lo vea, dont le budget s’élève à 3,5 millions d’euros, est produit par Juan Gordon, de Morena Films (L’Olivier [+lire aussi :
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interview : Icíar Bollaín
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, Cien años de perdón [+lire aussi :
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interview : Daniel Calparsoro
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), Uno Equis Dios – qui était le nom d’origine — A.I.E. et Turanga Films. Le film compte également la participation de Televisión Española et sera distribué par DeAplaneta.

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(Traduit de l'espagnol)

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